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PRESSE

Süddeutsche Zeitung Nr. 62 //  15 mars 2018
Seduction douteuse, Le Dit du Genji

(…) La pianist, Masako Ohta (photo à droite) et la danseuse, Eiko Hayashi (photo à gauche) reprennent cette histoire comme base de pour illustrer leur sujet des larges gammes d’émotions de Rokujo, une des amantes du Prince Genji: désir, passion, jalousie, furie, amour perdu,  et …  C’est ici que les deux artistes explosent avec leur improvisation des mouvements de la danse, strictement formés pour le théâtre de Kabuki.  De cette manière, est née une espace illusoire qui dépasse de loin de narration de l’histoire simple. Voici l'article original du journal


Süddeutsche Zeitung Nr. 288 // Vendredi, 15. décembre 2017

Les pieds fermement positionnés sur la scène
Danse de Kabuki - une forme de danse traditionnelle japonaise à raconter une histoire 

(…) La danseuse de Kabuki, Eiko Hayashi, est née au Japon, habite à Vienne et danse depuis qu’elle a six ans.  Pour son workshop, elle fait des voyages entre autres à Berlin ou aussi à Munich.  Quand elle donne elle-même ses performances de danse sur la scène, elle chorégraphie parfois des pièces de musique classique d’Europe avec les mouvements de la danse traditionnelle de son pays natale. Par contre des ballets désirant ardemment de sauter le plus haut possible dans l’air comme une fée, la caractéristique de cette danse japonaise est remarquable aux pas fermement positionnés sur la scène/terre, d’après elle. Par cette posture, le tronc supérieur devient léger et libre, ce qui lui permet la flexibilité de mouvements générales de la danse de Kabuki ou même en la tête. « On pourrait envisager une fleur qui absorbe suffisamment de nourriture par ses racines et se fait épanouir pleinement dans toute sa splendeur. »  TEXTE: FRANZISKA GERLACH
 

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Süddeutsche Zeitung // 25 septembre 2006
Névrose d’une grande ville – Tokyo au Black Box

(…) Katrin Schafitel et Sayuri Tronsberg - une Japonaise formée au ballet classique – ont assimilé le flux des pas souples d’Eiko Hayashi, danseuse de Kabuki au kimono rouge sang (…). Ainsi, la soirée s’est écoulée comme un voyage entre les paroles du kabuki et la névrose de la ville post-moderne (…). Silvia Stammen

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Münchner Merkur // 23 septembre 2006
Contrastes Est-Ouest - Tokyo, pièce de théâtre dansé au Black Box de Munich

Eiko Hayashi, avec les cheveux noirs longs sur la robe rouge feu, transmit superbement cette servilité flatteuse avec les gestes stylisés de la danse de Kabuki. C’est une chance pour la chorégraphe (…) d’avoir la présence théâtrale de cette danseuse professionnelle de la danse du Kabuki (…). Malve Gradinger

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Fuji-Musume (La jeune fille-glycine) - Danse à Vienne (Autriche)
Hitomoyou (Arabesques), quotidien japonais du 2 avril 2003

(…) Pourtant l’artiste est fermement convaincue que l’élégance de la danse japonaise ainsi que les blessures de l’âme ont aussi leur pendant dans la culture occidentale. C’est la raison pour laquelle, depuis longtemps, Eiko Hayashi mûrissait l’idée d’extérioriser sur une scène européenne ces notions purement japonaises (…). Eiko Hayashi a développé son idée de mariage entre la danse japonaise et la musique européenne (…) Eiko Hayashi (…) souhaite poursuivre dans cette voie : explorer les possibilités qu’offre la combinaison de l’esthétique japonaise et de la musique européenne classique, établir un point de rencontre entre les deux cultures. Satoshi Fukui
 

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